MP 936/2020 a été publié par le gouvernement fédéral, qui est devenu connu sous le nom de Mesure provisoire Travail, évitant un nombre élevé de licenciements en raison de la nouvelle pandémie de coronavirus.
Pour que les licenciements n'aient pas lieu, il permet aux entreprises de couper jusqu'à 70% dans les rémunérations des salariés formels et de débloquer l'assurance chômage pour compenser cette coupe. Cette mesure est facultative pour les entreprises, mais selon les données du ministère de l'Économie, elle devrait atteindre 24 millions de travailleurs.
La mesure empêche un nombre élevé de chômeurs
Les mesures ont un délai à adopter, par exemple pour réduire le temps de travail et aussi le salaire, le maximum est de 90 jours et dans la suspension de contrat de 60 jours. Comme il s'agit de mesures provisoires, elles s'inscrivent dans le décret, cependant, il faudra 120 jours pour être approuvées par le Congrès.
Le texte prévoit une réduction de la journée de travail de trois pourcentages, qui peuvent être 25%, 50% ou 70%, en cas de suspension du contrat dans un délai de 60 jours.
Par conséquent, les relations de travail dans la mesure visent à maintenir le « revenu » et non le « salaire » des travailleurs. Les deux points principaux étant la réduction de la journée de travail et la suspension du contrat du travailleur.
Les entrepreneurs y voient un moyen d'accords salariaux collectifs ou individuels. L'État lutte contre ce qui peut arriver à l'économie, si le chômage augmente, la mesure est d'éviter un effondrement encore pire.
L'assurance-chômage libérée dans l'amendement de la mesure provisoire, au profit de l'employeur, dans la baisse des salaires. En plus d'éviter le licenciement, le montant des prestations varie de R$ 1 280,00 à R$ 1 813,00.
S'il y a une résiliation du contrat, l'assurance sera le montant total payé. Dans le cas où la baisse de salaire atteint 70%, le montant sera en pourcentage pour l'allocation chômage. Le pourcentage de 30% peut être réduit dans le revenu net pour l'impôt sur le revenu.